La sophrologie s’appuie sur le principe d’action positive. Cette pratique apprend ainsi à fixer notre attention sur ce qui va bien et laisser cette sensation localisée irradier, se diffuser dans notre corps.

Accepter de laisser de la place au bien-être en nous, même infime, même caché. Lui laisser la possibilité de s’étendre, de se diffuser, et laisser ainsi moins de champ libre pour les tensions, les douleurs, les émotions négatives et envahissantes.

Oser partir à la recherche de ce qui va bien, même lorsque – surtout lorsque – les soucis, les douleurs ou les émotions négatives sont trop présentes à sa conscience. Lâcher ces ruminations, stopper ce petit vélo qui s’emballe dans notre tête et qui vient envahir l’ensemble de son corps, qui se raidit, se crispe, s’épuise.

Se servir des sensations agréables que nous pouvons doucement installer dans notre corps lorsque notre esprit est envahi de doutes, de peurs et leur laisser petit à petit toute la place.

La sophrologie nous invite à entrer dans un processus de répétition du positif. Elle nous autorise à adopter un peu plus souvent une attitude bienveillante envers nous-même et envers notre entourage, par le simple fait que ce à quoi nous portons attention grandit, tandis que ce à quoi nous ne portons pas attention faiblit.

La sophrologie peut se pratiquer en complément d’un suivi médical mais ne peut en aucun cas s’y substituer.